dimanche 30 décembre 2018

Balade dans Paris #4

Petit commerce en souffrance…

Balade dans Paris #03

Coup de flip au Père Lachaise… Il y a des tombes qui font peur. Celle-ci est dans un recoin du cimetière, au milieu de caveaux abandonnés depuis des années.


Balade dans Paris #02

Repaire de gilets jaunes…

Balade dans Paris #01



Danse du ventre…

dimanche 25 novembre 2018

dimanche 30 septembre 2018

Ferrari Shark Nose 1961

Monza 1961 ? Non, Montlhéry 2018… où deux Ferrari Shark Nose font le spectacle. Ce sont des répliques mais est-ce bien important à partir du moment où cela est dit. Elles sont belles et Arturo Merzario, qui est beaucoup trop jeune pour avoir piloté cette F1 de 1500 cm3, fait le spectacle. En regardant vite fait sur le web, je me suis aperçu qu'il en existait plusieurs… Heureux collectionneurs !


jeudi 20 septembre 2018

Juste pour le plaisir…

On dirait une de ces vieilles images que l'on découvre en feuilletant une pile de revues des années 50. Il y a un étrange parfum d'huile et d'essence qui flotte dans l'air. John Surtees est attendu d'une minute à l'autre et le Comte Agusta s'impatiente.

mercredi 19 septembre 2018

MV Agusta (toutes les)

Une usine désaffectée remplie de MV Agusta, dont certaines sont uniques… Cela se passe quelque part en Italie. Mais chut…

lundi 10 septembre 2018

Orange mécanique (encore une fois !)

Une Laverda 1000 tapée jusqu'à l'os qui court sur l'Île de Man…
Fortement pimentée en dépit de la couleur acidulée ; )

Ça déménage !

Pas de bonne ambiance sans un DJ passionné ! Celui-là délivrait du bon son ; )

Old rockers never die…

Au 5ème Motors & Soul, j'ai rencontré ce charmant couple de rocker tout droit sorti des fifties. Ils roulent en Electra Glide, une rouge candy et une bleue turquoise… Ça vous étonne ?
(with the help of my FujiX100F).

mercredi 1 août 2018

Visite chez Patrick Godet

Ce matin, j'ai pris la route vers l'ouest pour rendre visite à Patrick Godet, maître es Vincent. Bel endroit ou le savoir-faire permet de garder en vie les trésors mécaniques que sont ces gros bicylindres anglais.

mercredi 18 juillet 2018

lundi 4 juin 2018

TT is TT (ça va être l'heure d'y aller).

Concentration avant LE coup de kick !


Moulé dans du Rickman, posé sur une fourche Egli, rassuré par un amortisseur de direction, on sent que le propriétaire de ce valeureux 4 pattes a déjà bien baroudé, .

C'est pas mon modèle préféré chez Norton…

mercredi 30 mai 2018

TT is TT (on continue les révisions !)


La TY de chez BSA…
Stick you!


La glace, c'est avant le Fish & Chips… Ou bien après ?

lundi 28 mai 2018

TT is TT (suivez le guide)

Mais que fait la police ? 

Not Hulot friendly…
Rare spécimen de six cylindres !

jeudi 24 mai 2018

TT is TT (suite)

Il n'y a qu'au Tourist Trophy qu'on peut croiser un Basset homologué pour la route… En conduite à droite, bien sûr !

Et ça papote évangélisation des motards…

Tommy Robb fut le premier pilote non-japonais à piloter une Honda.

Le retour de Mike the Bike.

Mécanique et encadrement…

mercredi 23 mai 2018

Invitation au voyage.


La nouvelle Gold Wing est arrivée… Repensée de A à Z, ou plutôt de G à W, elle est plus légère et plus puissante, elle embarque encore plus de technologie et démode l’ancienne de façon définitive. Pour moi, ça sera de toutes façons une découverte car je n’ai jamais conduit de « Gold » de ma vie de motard…  Trop grosse, trop lourde, cette limousine à deux roues m’a toujours impressionné et je n’ai jamais eu la tentation de rouler avec…



Mais il ne faut pas dire « fontaine, je ne boirais pas de ton eau », surtout quand la destination de la balade est… la Bourgogne. Le rendez-vous est fixé chez Honda France et on commence par un briefing « comment ça marche » car il y a un paquet de commandes à intégrer avant de démarrer sans clé… Mais avec la Smart Key dans la poche.



De la douceur avant toutes choses…

Avant de s’élancer, je trouve que la nouvelle elle est plus jolie et plus fine que l’ancienne… Il faut avouer que la dernière évolution cosmétique datait de 2012. Je m’installe sur la version de "base" (dépourvu de top box, ce qui lui donne des allures de « Bobber ») et c’est parti dans un silence absolu. Les premiers kilomètres sont avalés en douceur et la Gold Wing se révèle à partir du moment où l’on roule. Elle est conçue pour avaler les kilomètres et apaiser son conducteur. A son guidon, on a envie de se laisser glisser sans tirer les rapports.



A propos de rapport, la boite DCT fait des merveilles sur la Gold Wing (dans la version équipée de la boîte semi automatique, la Gold Wing reçoit également l’airbag). Sur les grandes routes ou les autoroutes, on se laisse aller à rêvasser en laissant le moteur ronronner comme un V8 (c'est étrange pour un flat-6 mais c'est comme ça !) mais, sur les petites routes plus viroleuses, je préfère la version équipée d’un sélecteur. Ça doit être mon côté « old style ».

Le flat-6, qui ronronne comme un gros chat, accepte d’être brusqué et, évidemment, ça avance plus vite ! Comme je suis un gars prudent, j’ai toujours gardé à l’esprit que la machine est imposante. Evidemment, elle vire parfaitement bien et son freinage couplé est particulièrement efficace. Mais je garde à l’esprit qu’elle a un gabarit de ballerine dopée aux protéines… Pour me rassurer, je me dis que c’est une Honda et que les ingénieurs ont bossé des années pour en faire une vraie ballerine, svelte et agile. On peut admettre que ces gars-là ont bien bossé car la Gold Wing est redoutablement efficace. C’est LA machine parfaite pour voyager en toute sérénité (d'ailleurs, elle est garantie 5 ans) et, si la « Gold » a des concurrentes, je ne suis pas sur qu’un comparatif soit nécessaire tant le fan de Gold Wing est convaincu que c’est la meilleure… 

Photo © Fabrice Berry.

Pour tout savoir sur la Gold Wing.

Invitation au voyage (suite).


3… 2… 1… 0… Démarrage en douceur.
Photo © Fabrice Berry.

Notre convoi de Gold Wing est en route vers la Bourgogne.
Photo © Fabrice Berry.
Un chef japonais qui roulait en Honda 250 CBR dans son pays natal,
c'est l'assurance d'un déjeuner réussi.

mardi 22 mai 2018

TT is TT…






Douze ans après avoir découvert la magie du TT, je m'apprête à y retourner… Avant de faire une cure de fish and chips et de bière, je révise un peu en ressortant quelques vieux clichés en NB…

vendredi 18 mai 2018

mardi 15 mai 2018

Belle Vue…

Mais ou est passée la Mère Denis ?

lundi 14 mai 2018

Décomposition

La vie de cette 4L s'est arrêtée dans l'herbe, de l'autre côté de la plage…

dimanche 13 mai 2018

Kawasaki Z900RS : esprit, es-tu là ?


A la fin de l’année 2017, les premiers photomontages de la Z900RS apparaissent et me rendent nerveux. La future néo-vintage de Kawasaki va-t-elle être une réussite esthétique ou bien juste une moto de plus dans le flot des nouveautés 2018 ?

Je suis rassuré… La version « Candytone brown and orange » est une très belle évocation de la Z900 originelle. Rien ne manque ou presque : la couleur, bien sur mais aussi la forme des boitiers de compteur et de compte-tours, l’habillage avec le réservoir, les caches latéraux et le magnifique petit dosseret. Il ne manque que les quatre pots mais cela aurait coûté plus cher et plus lourd ! Les détails sont soignés, la finition est belle, c’est du « Made in Japan »… Kawasaki en fait même un argument par rapport au « Made in quelque part en Asie ».

J’ai récupéré une version « vert mat » avec une selle creusée et un silencieux Akrapovik pour être dans l’ambiance « Superbike US ». La position est parfaite, les pieds bien à plat, bien calé dans la selle, le moteur ronronne grassement à travers le « silencieux ».



Puls(at)ions

Avec « seulement » 111 ch, la Z900RS marche bien. Le quatre cylindres est rempli dès les plus bas régimes et se montre très taquin. En réalité, les 111 ch sont suffisants à moins de vivre à proximité d’une autoroute allemande et d’avoir un cou de pilote de F1. Elle freine parfaitement bien, elle est confortable et tient le parquet tout en étant maniable. La Z900RS n’est pas une machine nostalgique sur le plan technologique. Elle propose tout ce qu’il faut pour que le pilote se sente à l’aise à son guidon et, ça, c’est appréciable.

Si on regarde dans le rétro vers l’année 1973, on se souvient que la Z900 n’était rien moins que la première Superbike, la machine qui a dégommé la CB 750, la nouvelle référence d’un milieu avide de performances. C’était une « nouvelle » révolution, trois ans à peine après la sortie de la Honda !

Aujourd’hui, la Z900RS ne peut plus prétendre à révolutionner le monde de la moto mais elle peut nous rappeler d’où nous venons. C’est juste une machine parfaitement efficace avec un petit supplément d’âme qui (me) rend heureux… 


samedi 5 mai 2018

Ambiance de broc parisienne

Ou t'as mis le blanc ? A côté des rillettes…